J'adore les films dont la fin nous laisse comme deux ronds de flan. Ces films qui donnent envie de gueuler "Nooooooon ? Oh noooon mais c'est pas vrai quoi, NOOOOOON !!!!!!!!!", autant en positif qu'en négatif. Limite je prendrais le téléphone et j'appellerais tous mes amis "AS TU VU ce film là ? Booordel de fouuutre, t'as vu à la fin là ? Quand... Et quand... Et quand ... ???".
Quelques films vus récemment dont la fin me fait cet effet.
○ The Mist - adaptation du roman de Stephen King par Frank Darabont. Dans le livre, il n'y avait pas de fin, mais Stephen King a avoué qu'il n'aurait pas fait mieux. Honnêtement, elle m'a énervée, mais m'a quand même laissée avec une tête avoisinant le O_______O .
○ Old Boy - de Park Chan Wook. Alors c'est simple. Park Chan Wook il est déjanté, il est mégalo, il est tordu, il est tout ce qu'on veut mais moi, je l'aime, c'est pas ma faute, je l'aime. J'ai vu ce film il y a un moment déjà mais lors du dénouement final ma mâchoire a réellement failli se déboîter. S'en est suivi un concert de "Nooooon" suraigüs et une soirée à débriefer sur MSN avec un ami fan du maître coréen également.
○ Apocalypto - de Mel Gibson. Alors Mel Gibson on connaît sa réputation, choquer pour choquer, fort porté religion, trop violent, etc. Mais ce film... Ce film ! Il est trèèèès dur en effet, plus psychologiquement que physiquement j'ai trouvé (niveau hémoglobine on a vu pire, même si j'avoue qu'il est franchement pas mal dans le genre). Tout semble si réaliste, les acteurs, le langage (maya sous-titré), on s'attache vite à Patte de Jaguar ! Même si à certains moments ça sent quand même fort Hollywood, j'avoue que la fin m'a vraiment scotchée sur place. Je ne m'attendais vraiment pas à ça, mais après tout, c'était peut-être le seul dénouement possible pour PdJ...
○ Night of the Living-Dead - de George Romero. Je traversais ma période Zombie, pendant les examens, et je ne pouvais pas passer à côté du Maître, de l'initiateur du film de ce genre. Et quelle oeuvre... Quel film... Le fabuleux & super-connu "They're coming to get you, Barbaraaaa", inoubliable ! J'avoue, à la fin, j'ai crié ! J'étais indignée et choquée ! ARGHHH MAIS NOOOON quoi ! Ceci dit, c'est une fin de film que je suis certaine de ne pas oublier tant elle m'a sciée !
○ The Road - adaptation du roman de Cormac Mc Carthy par John Hillcoat. Ca peut sembler nian-nian, trop facile, ou ce qu'on veut, mais moi, j'ai pleuré, na. Et puis aussi je reste dans l'incertitude : est-ce réel, ou est-ce un mirage monté de toute pièce par le froid, la faim le chagrin ? Je n'en dis pas plus mais... pour moi ça restera une fin ouverte.
○ Saw - de James Wan. Alors oui les suites sont pourries et n'auraient pas dû voir le jour, oui après ça commence à bien faire avec Saucisse et Saussette, franchement on aurait pu se contenter du 1er, mais moi c'est ce que je fais. Je me contente du 1er et je regarde les autres comme si c'était juste un téléfilm librement inspiré de l'oeuvre majeure qu'est pour moi le 1. Je l'ai vu il y a évidemment longtemps, et je pense que pas mal de personnes l'ont vu également, alors vous serez d'accord avec moi : franchement, cette fin, on ne la voit pas venir, hein ? Je me rappelle de Soeur qui vient dans ma chambre, livide : "J'ai vu un de ces films, il faut que tu le regardes, la fin franchemet, wouhaaa...". Pour une fois je n'ai pas été déçue !
Avez-vous des films à me conseiller dont la fin me fera bondir sur mon siège et manger mes ongles au sang ?
Walt est un modeste professeur de chimie & père de famille dans une petite ville du Nouveau-Mexique. Sa vie bascule lorsqu'il apprend qu'il est atteint d'un 
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